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Communiqués de presse

30.04.2008

Troïka Union européenne – Nouvelle Zélande, dirigée par le ministre slovène, M. Rupel

Le président du Conseil «Affaires générales et relations extérieures» et ministre slovène des affaires étrangères, M. Dimitrij Rupel, a présidé, aujourd'hui à Brdo pri Kranju, une réunion de la troïka Union européenne – Nouvelle Zélande. Parmi les participants à cette rencontre figuraient également le ministre des affaires étrangères néo-zélandais, M. Winston Peters, ainsi que les représentants de la Commission et du Secrétariat général du Conseil de l'Union européenne.

Tout d'abord, M. Rupel s'est réjoui des excellentes relations bilatérales existantes entre les deux parties. En septembre dernier, l'Union européenne et la Nouvelle Zélande ont approuvé et publié une déclaration commune sur leurs relations mutuelles; celle-ci doit tracer la voie de leur collaboration pour au moins les cinq prochaines années.  «Ainsi, nous avons réussi à approfondir et à enrichir des relations déjà très étroites», a affirmé le ministre slovène.  Par ailleurs, l'Union européenne considère la coopération non seulement dans les secteurs commercial et économique mais aussi dans ceux de l'éducation, de la recherche, des sciences et de la technologie comme très importante.

En ce qui concerne les futurs accords entre l'Union européenne et la Nouvelle Zélande, M. Rupel s'est félicité de la possibilité de signer un accord de coopération scientifique et technologique avant l'été. Outre cet accord, les deux parties devraient en conclure d'autres dans les domaines des transports aériens et du commerce du vin.

La troïka UE – Nouvelle Zélande a été consacrée, par ailleurs, à la coopération relative au  dialogue interconfessionnel et interculturel. Selon M. Rupel, l'entente interreligieuse, la tolérance et le respect constituent des éléments clés pour la cohabitation pacifique dans le monde actuel, caractérisé par la mondialisation. Pourtant, le seul fait de participer à ce dialogue nous ne permet pas d'oublier les valeurs fondamentales des droits de l'homme, notamment celles liées à la liberté d'expression et à la liberté de manifester sa religion ou sa conviction. M. Rupel a rappelé que l'Union européenne participait à différentes initiatives favorisant le dialogue et l'entente interculturels, notamment dans le cadre de la Fondation Anna Lindh, le dialogue interconfessionnel ASEM et l'Année européenne du dialogue interculturel. De plus, les États membres de l'Union européenne et la Commission européenne, membres du groupe des amis de l'Alliance des civilisations, examinent les possibilités de renforcer leur coopération en la matière.  M. Rupel a conclu en soulignant la nécessité de poursuivre le dialogue interculturel et interconfessionnel, dans notre voisinage des Balkans occidentaux, dialogue qui représente un moyen important de stabilisation et d'avancée pour l'ensemble de la région.

La deuxième partie de la troïka UE – Nouvelle Zélande s'est concentrée sur le dialogue politique, en particulier sur les questions internationales actuelles. L'accent a été mis sur la situation au Kosovo, en Afghanistan, au Proche-Orient, sur le changement climatique et sur les relations dans la région Asie-Pacifique.

 

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Date: 02.05.2008